La Nature a besoin de votre Bonheur

Mois : juin 2021

Lépigénétique

Comment modifier votre ADN en modifiant votre comportement !

genetique

 

L’épigénome est une interface entre nos gènes statiques et notre environnement variable.

Alors que le génome d’un individu reste très stable au cours de sa vie, l’ensemble des marques épigénétiques qui règlent l’expression des gènes, son épigénome, varie constamment en réactions aux variations extérieures.

Freud avait déjà observé il y a plus d’un siècle, que les traumatismes psychologiques laissaient une trace indélébile à l’âge adulte.

Depuis, une multitude d’études cliniques l’ont confirmé : ceux qui ont subi de grands traumatisme dans l’enfance sont globalement plus sujets à la dépression, à la toxicomanie, aux comportements associaux, mais aussi à l’obésité, au diabète et aux maladies cardio-vasculaires. Ce mal-être s’ancre parfois en nous AVANT la naissance !

Comment des expériences négatives peuvent-elles s’inscrire dans l’organisme au point d’affecter durablement le comportement ou la santé ?

Le secret de cette empreinte biologique serait niché dans l’ADN, là où les effets du stress peuvent perturber l’organisme.

Ce pouvoir étrange de l’esprit sur le corps a été montré en 2004 par la biologiste Elizabeth Blackburn, prix Nobel de médecine en 2009, et Elissa Epel, psychiatre à l’université de Californie : L’extrémité des chromosomes (les télomères) est altérée (les télomères raccourcissent) par le stress psychologique chronique.

Ce n’est pas tout : le stress inscrit également sa marque directement sur nos gènes, modifiant de façon ciblée et durable certains de nos comportements !

Cette action relève d’un phénomène biologique dont l’importance se dévoile aujourd’hui : c’est L’EPIGENETIQUE.

L’Epigénétique concerne les modifications chimiques qui affectent l’ADN autres que les mutations qui touchent la structure même de la molécule. Ainsi, des groupements méthyles viennent en cas de stress, parasiter l’ADN dans l’utilisation des gènes.  A son tour, la zone cérébrale qui gère l’hippocampe et les émotions, s’en trouve affectée.

C’est parfois en remontant très loin dans l’histoire d’un individu, AVANT SA NAISSANCE, que l’on trouve la source de la maladie. Certaines mémoires de stress peuvent remonter à plusieurs générations, comme celles laissées par exemple par la famine. Elles peuvent être décryptées en psychogénéalogie.

Les chercheurs pensent que la plupart des maladies chroniques comme l’asthme, le cancer, le diabète, l’obésité, et des maladies neurologiques telles que l’autisme, les troubles bipolaires, la schizophrénie, résultent en partie d’une mauvaise régulation épigénétique lors des tous premiers stades de développement.

HEUREUSEMENT LE PHENOMENE EST REVERSIBLE !

Soit par une médication ciblée, soit par l’apprentissage d’émotions positives à l’aide par exemple de la relaxation, la méditation, l’activité physique choisie.

Contrairement à ce qu’affirmaient les scientifiques dans les années 1990, nous ne sommes donc pas uniquement le produit de nos gènes, mais nos expériences, nos émotions, et même nos actions, façonnent l’expression de ces gènes en permanence, avec la certitude que rien n’est irrémédiable.

L’épigénétique est la plus grande découverte en biologie de ces cinquante dernières années. Les gènes et les caractères génétiques qui constituent l’ADN sont comme des notes de musique sur une portée, et l’épigénétique est la symphonie qui en découlera grâce au talent du chef d’orchestre et de ses musiciens.

En d’autres termes, l’épigénétique est la modulation de l’expression de nos gènes en fonction de notre comportement relatif à 5 éléments connectés constamment dans nos vies de tous les jours:

  • Notre alimentation, ce que nous mangeons, notre façon de nous nourrir nous et les centaines de milliers de milliards de microbes qui constituent en majeure partie chacun de nous

  • Une activité physique appropriée

  • Notre façon personnelle de gérer le stress (nos pensées influent également sur l’expression de nos gènes)

  • Le plaisir dans ce que nous faisons

  • Un réseau social, amical et familial qui nous rend heureux

Ces cinq éléments sont coordonnés dans un cadre global et si on joue d’eux sur de bons accords et en synergie, on peut se maintenir en bonne santé, retrouver une santé optimale, ainsi que vieillir moins vite.

L’impact de ces 5 éléments, modulant l’expression des gènes, cela veut dire que oui, vous pouvez faire quelque chose pour vous !

Quelle symphonie choisissez-vous de jouer ?

La pratique de la relaxation induit des modifications dans la transcription des gènes, dans le métabolisme énergétique, dans la sécrétion de l’insuline et dans les réactions inflammatoires.

Le déclenchement de la réponse à la relaxationun état physiologique de repos profond induit par des pratiques comme la méditation, le yoga, le Qi gong, les pratiques énergétiques, le tai chi, la respiration profonde produit des changements immédiats dans l’expression de gènes impliqués dans la fonction immunitaire, le métabolisme énergétique et la sécrétion d’insuline.

Publiée dans la revue scientifique PLoS ONE, l’étude a combiné les technologies avancées du profilage de l’expression et des systèmes technologiquement avancés d’analyses de biologie pour à la fois identifier les gènes touchés par la pratique de la relaxation et déterminer la pertinence biologique de ces changements.

EXPERIENCES

En 2008, Benson et Libermann ont mené une étude concluante démontrant que la pratique à long terme de la relaxation modifie l’expression des gènes impliqués dans la réponse du corps au stress.

La présente étude a examiné les changements produits au cours d’une seule séance de pratique de relaxation, ainsi que celles qui ont lieu sur de plus longues périodes de temps.

L’étude a porté des adultes en bonne santé qui n’avaient aucune expérience dans la pratique de la relaxation, qui ont ensuite suivi une formation de pratique à la relaxation pendant 8 semaines.

Avant de commencer leur formation, les participants sont passés par une session de divers examens : des échantillons de sang ont été prélevés avant et immédiatement après qu’ils aient écouté un CD de 20 minutes, et à nouveau 15 minutes plus tard. Après avoir terminé leurs cours de formation aux pratiques de la relaxation, un ensemble de tests sanguins similaires aux premiers examens a été réalisé avant et après que les participants aient écouté un CD de 20 minutes utilisé pour déclencher la réponse de relaxation dans le cadre de la pratique quotidienne.

Les séries de tests sanguins prélevés avant le programme de formation ont été désignés «novices», et celles prises après l’achèvement de la formation ont été classés comme des «pratiquants de courte durée »

Pour de plus amples comparaison d’échantillons de sang des examens sanguins similaires ont été prélevé sur des groupes de personnes de 4 à 25 ans avant et après qu’ils aient à leur tour écouté le même CD, ces personnes pratiquant régulièrement la  relaxation dans de nombreuses techniques différentes.

Des échantillons de sang de tous les participants ont été analysés pour déterminer l’expression de plus de 22.000 gènes dans les différents intervalles de temps.

Les résultats ont révélé des changements significatifs dans l’expression de plusieurs groupes importants de gènes entre les échantillons ‘novices’ et ceux des deux sets à court et à long terme, avec des changements encore plus prononcés chez les ‘pratiquants de longue durée’ (8 semaines)

Une analyse de la biologie des systèmes d’interactions connus entre les protéines produites par les gènes a révélé que les voies impliquées dans le métabolisme énergétique, en particulier la fonction des mitochondries, ont été régulés à la hausse au cours de la pratique de relaxation. Les voies contrôlées par l’activation d’une protéine appelée NF-kB – connue pour avoir un rôle important dans l’inflammation, le stress, le traumatisme ainsi que le cancer – ont été supprimées après le déclenchement de la réponse à la pratique de la relaxation. L’expression des gènes impliqués dans les voies de l’insuline ont également été significativement modifiés.

Benson souligne que les pratiquants de relaxation de longue durée dans cette étude ont appliqué la relaxation dans de nombreuses techniques différentes – différentes formes de méditation, le yoga ou la prière – et que ces différences ne sont pas reflétées dans les profils d’expression des gènes. «Les gens ont recours à différentes formes de pratiques de relaxation depuis des milliers d’années, et notre découverte est basée sur des faits scientifiques, les niveaux génomiques apportent une plus grande crédibilité à ce que certains appellent de la « Médecine New Age, » explique Benson, docteur en médecine, directeur émérite et co-auteur senior de l’étude.

Fréquences Vibratoires

A mon sens et notamment du point de vue de la physique quantique, plusieurs choses affectent notre fréquence vibratoire. Tout est vibration, tout est énergie. Nous sommes des êtres vibrants sur certaines fréquences. Chaque vibration équivaut à un sentiment et dans le monde vibratoire, il n’y a que deux espèces de vibrations: positive et négative.

 

Les pensées
Toute pensée émet une fréquence vers l’univers et cette fréquence retourne vers l’origine. Alors attention à vos  pensées, à vos interprétations, si vous avez des pensées négatives, de découragement, de tristesse, de colère, de peur, tout cela revient vers vous.
– Cultivez des pensées positives.

 

L’entourage
Les personnes autour de vous influencent directement votre fréquence vibratoire. Si vous vous entourez de personnes joyeuses, positives et déterminées, vous entrerez également dans cette vibration. Maintenant, si vous vous entourez de personnes se plaignant, pessimistes, découragées, fainéants, incapable de prendre soin d’eux-même,  soyez prudent ! En effet, elles peuvent diminuer votre fréquence et, par conséquent, vous empêcher d’exploiter la loi de l’attraction en votre faveur.

 

La nourriture globale
Puisque tout est énergie dans ce monde, tout ce que nous ingérons a une certaine fréquence. Ce que nous mangeons, ingérons, posons sur le corps nous impacte directement et influence notre fréquence vibratoire. Le corps a besoin d’aliments et de substances riches énergétiquement et non de surconsommation alimentaire, alcool, tabac, cosmétiques polluants.

 

La musique
La musique est très puissante. Si vous n’écoutez que de la musique qui parle de tristesse, d’abandon, d’amour perdu, tout cela va interférer avec ce que vous vibrez. Faites attention aux paroles de la musique que vous écoutez, elle diminue votre fréquence vibratoire. De plus cela vous renfermera dans votre propre démotivation. Et rappelez-vous: vous attirez exactement ce que vous vibrez dans votre quotidien.

 

Les films, vidéos, conférences, documentaires
Lorsque vous regardez des programmes qui traitent de malheurs, de morts, de trahisons, de complots, etc. votre cerveau accepte cela comme une réalité et libère toute une chimie dans votre corps, ce qui affecte votre fréquence vibratoire. Regardez des choses qui vous font du bien et vous aide à vibrer à une fréquence plus élevée!! Nourrissez-vous de produits énergisants, et non polluant !

 

L’ambiance
Que ce soit à la maison ou au travail,  si vous passez beaucoup de temps dans un environnement désorganisé, sale, pollué,  cela affectera également votre fréquence vibratoire. Améliorez ce qui vous entoure, organisez et nettoyez votre environnement. Montrez à l’univers que vous êtes apte à recevoir beaucoup plus. Prenez soin de ce que vous avez déjà!

 

La Parole
Si vous prétendez ou que vous parlez mal des situations et des gens, cela affecte votre fréquence vibratoire. Pour maintenir votre fréquence élevée, il est essentiel d’éliminer l’habitude de se plaindre, d’être négatif et de mal parler de ce qui vous entoure.  Alors évitez les drames et la victimisation. Assumez votre responsabilité pour les choix de votre vie! Assumez-vous! Vous êtes là où vous vous êtes posés !

 

La gratitude
La gratitude affecte positivement votre fréquence vibratoire. C’est une habitude que vous devriez intégrer dans votre vie. Commencez à remercier pour tout, pour les bonnes choses et ce que vous considérez comme mauvaises, remerciez pour toutes les expériences que vous avez vécues. La gratitude ouvre la porte pour que les bonnes choses arrivent positivement dans votre vie.

Nous sommes ce que nous pensons

« Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde »

Bouddha

Maintenant que l’on a supprimé le « négatif entrant », on va pouvoir commencer à augmenter petit à petit le positif entrant.

Au début, beaucoup d’entre nous doivent se forcer. On est mal, on ne voit rien de positif, et on voit difficilement comment on pourrait l’être. Les personnes débordantes de positivité nous dégoûteraient presque…

On se dit qu’on ne pourrait jamais être comme ça… mais c’est faux.

Il suffit de s’entraîner. Et comme pour chaque entraînement, au début il faut se forcer. Se motiver, rester discipliner, et ce même (et surtout) si on ne voit pas encore les bienfaits.

La positivité, c’est un peu comme planter des graines.

Semez-en le plus possible (une graine= une pensée positive), et vous récolterez les fruits plus tard. Mais vous récolterez seulement si vous arrosez votre positivité souvent et suffisamment 😉

5 exercices pour être plus positif

1 – Prendre conscience de sa négativité

Comme je vous l’ai dit, la négativité vient soit de l’extérieur, soit de nous-même. Nous devons donc apprendre dans un premier temps à l’identifier.

Chaque fois que l’on se surprend à être négatif, à se plaindre, à faire la victime, à avoir peur, on peut se dire:

« Ok là je viens d’être négatif. Je sais que cela ne m’aide pas du tout. Au contraire, je sais maintenant qu’être négatif empire la situation. Comment je pourrais faire pour être plus positif là tout de suite? »

2 – Accepter votre négativité, puis essayez de la transformer en positif

Donc vous venez d’identifier une pensée négative. Vous ne la repoussez pas, vous l’acceptez, mais vous prenez tout de suite la décision de chercher du positif.

L’objectif étant de remplacer une pensée négative en pensée positive.

Exemple:

Vous vous levez et vous voyez qu’il pleut.
Là, une pensée négative arrive: « Trop nul, il pleut, ça va encore être une journée de … »

STOP

Vous venez de prendre conscience de la négativité, et vous cherchez tout de suite à la remplacer par du positif :

« Ok là j’étais en train d’être négatif… le positif c’est quoi ici? hum…les paysans vont être contents, leurs salades vont être arrosées. Ou …il pleut, ok, je me sens d’autant plus chanceux d’avoir un toit… »

Vous voyez le principe?

Être négatif, ce n’est pas dramatique, tant que vous faîtes l’effort d’essayer de changer ça. Au bout d’un mois, vous saurez quels sont les moments où la négativité est susceptible de pointer le bout de son nez. Vous pourrez donc la contrer, et être positif avant même qu’elle n’apparaisse.

3 – 5 choses positives en fin de journée:

Voici un autre exercice qui a le même objectif : vous apprendre à voir du positif là où vous n’en voyiez pas avant. À la fin de chaque journée, notez sur un carnet 5 choses positives qui vous sont arrivées pendant la journée.

Si vous n’y arrivez pas, continuez quand même l’exercice. Forcez-vous.

C’est le temps passé à faire la recherche qui compte. Même si vous ne trouvez rien, continuez. Car aujourd’hui vous ne trouverez peut-être qu’une chose positive… mais plus vous ferez cet exercice, et plus vous en trouverez.

Car le positif est tout autour de nous, on ne sait juste plus le voir.

4 – Repérer ce qu’il y a de positif tout au long de la journée

Si vous voulez progresser encore plus vite, vous pouvez faire cet exercice tout au long de la journée. À chaque fois que vous identifiez du positif, notez-le. Et à chaque fois que vous vous prenez en flagrant délit de négativité, notez-le, et essayez de remplacer tout de suite le négatif par quelque chose de positif.

Par exemple : « je suis déprimé » deviendrait « j’ai un petit coup de mou, peut-être mais je vais mieux, je fais tout ce qu’il faut pour cela. Je prends soin de moi, je travaille ma positivité, cela va bientôt payer. »

Apprenez à repérer la positivité dans les plus petites choses : un sourire, une parole, un oiseau, un enfant, manger un fruit… pour vous aider dans cette démarche, je vous conseille fortement « La sérénité de l’instant présent » de Thich Nhat Hanh (et tous ses autres livres d’ailleurs).

5 – Se nourrir de pensées positives

La positivité est un cercle vertueux.

Plus vous êtes positif… et plus vous êtes positif. Plus vous apprenez à voir du positif, et plus vous en voyez. Plus vous nourrissez votre esprit de positif, et plus cette même positivité resurgit ensuite dans vos pensées.

Un conseil : gardez toujours une source de positif à portée de main: un livre, un recueil de citations, un poème… En cadeau, voici mes principales sources de positif 🙂

Vers la pensée Positive

Avoir des pensées positives, devenir positif, le rester… C’est bien beau tout ça mais concrètement comment on fait?

Être positif est en fait quelque chose qui s’apprend !

Comment?

Je vais vous expliquer tout ça en détail dans cet article.

« Penser positif? Impossible j’ai que du négatif en tête… »

C’est sûr… quand on est pas au top, on a plus facilement accès à des idées négatives, des jugements rabaissants, des plaintes, des critiques… On est pas vraiment disposé à la pensée positive.

Mais tout cela peut changer.

Vous n’allez pas devenir un « maître du positif » du jour au lendemain, ce serait trop facile. Il y a par contre un processus, une sorte de méthodologie à suivre qui peut vous permettre de devenir positif petit à petit, et de le rester.

La positivité est un peu comme un muscle.

Si vous ne l’entraînez pas, il va logiquement rester faible. Au contraire, si vous l’entraînez et que vous l’exercez régulièrement, ce « muscle va se renforcer » et votre aptitude à être positif et à penser plus positivement va s’accroître.

Couper l’accès aux pensées négatives

Mon premier conseil n’est peut-être pas celui auquel vous vous attendiez, mais c’est selon moi le plus important : avant de pouvoir commencer à être positif, vous devez arrêter de nourrir votre esprit de négatif !!

Arrêter de nourrir votre esprit négativement

Qu’est-ce que j’entends par « nourrir son esprit de négatif? »

Nous avons environ 50 000 pensées par jour. Certaines proviennent de l’intérieur de notre tête et sont donc difficiles à gérer… Elles demandent un véritable travail intérieur, grâce à la méditation par exemple.

Par contre, un grand nombre de pensées négatives viennent de l’environnement extérieur. Et sur celles-ci, il est très simple d’agir!

Comme je l’explique dans l’article sur les aliments anti-stress, si on mange mal, on se sent mal. Et bien avec l’esprit, c’est le même principe : si on le « nourrit » mal (avec des regrets, de la peur, de la violence, des pensées négatives..), on se sent mal.

Quelques exemples de « nourriture négative » pour l’esprit?

  • Comment vous sentez-vous quand quelqu’un de votre entourage n’arrête pas de critiquer ou de se plaindre? Est ce que vous vous sentez mieux ou moins bien?
  • Comment vous sentez-vous quand vous lisez les malheurs d’un inconnu sur un forum? Leurs problèmes? Leurs symptômes? Est-ce que vous vous sentez mieux ou moins bien?
  • Comment vous sentez-vous après avoir regardé le JT de 20h? Est-ce que vous vous sentez mieux ou moins bien?
  • Comment vous sentez-vous quand 33 fois dans la même journée, vous entendez qu’il y a eu un triple meurtre, un incendie, et des inondations? Mieux ou moins bien?

La négativité est présente tout autour de nous.

Une des caractéristiques des personnes positives est qu’elles « consomment » plus de positif que de négatif. Et malheureusement, l’actualité n’est pas ce qu’on fait de mieux en terme de positivité !

Alors bien sûr je ne dis pas non plus qu’on doit tous aller vivre au fond des bois et manger des écorces 🙂 On peut suivre l’actualité, suivre des sujets qui nous intéressent, mais on n’est pas obligé de connaitre tous les malheurs du monde, tout le temps. Cela n’aide vraiment pas à rester positif.

Cela plombe notre moral … car le négatif est contagieux.

On a déjà beaucoup à faire avec notre propre négativité et avec celle de notre entourage… Alors pas besoin de s’handicaper encore plus !

Essayez de faire une « diète médiatique »

Pendant 1 mois, arrêtez de suivre l’actualité, et voyez si vous vous portez mieux ou moins bien (mais je crois que vous connaissez déjà le résultat). Ne suivez plus l’actualité pendant 1 mois, puis regardez à nouveau un JT. Attention, je vous préviens tout de suite, la prise de conscience peut être violente. Vous ressentirez peut-être un flot de négativité vous envahir… c’est pour ma part ce que je ressens quand je regarde un JT à nouveau, ou quand je tombe par hasard sur un flash info à la radio.

D’ailleurs faites-moi confiance : s’il y a vraiment quelque chose d’important qui se passe, vous en entendrez rapidement parler par quelqu’un de votre entourage.

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